Au mauvais moment... ft Lauren

La matinée avait été longue, les clients étaient tous plus exigeant les uns que les autres et ca même si ce n’était pas que des petites crapules qui désirait leur frics ou leur commande. Les gens étaient pressés et ca insupportait Tom qui aimait aller à son rythme, mais New York était ce genre de ville où tout allait à une vitesse folle. Le brun avait donc vaqué entre l’espace détente, les rayons de la librairie pour les conseils et la caisse. Il se disait qu’il ferait mieux de prendre un gars en supplément, mais il fallait quelqu’un de qualifier et de confiance aussi. Surtout pour les activités qu’il faisait ce n’était pas de tout repos.

Enfin vers midi, il pu souffler. S’était l’heure du repas, mais certains venaient tout de même pour demander leur reste, mais maintenant il ne restait qu’un gars. Si bien qu’à cet instant, Tom était installé à une table dans l’espace détente, en face d’un homme crapu et hautain d’origine Italienne. Il avait un accent sifflant, qui donnait la migraine à Tom qui jouait avec un cure dent entre ses lèvres.

« Ecoute fabio, je ne peux que te donner vingt pour cent pour ce que tu me demandes… Franchement tu crois que ca vaut plus ? Vraiment pas. »

Fabio « Déconne pas Cohen.. Je mérite au moins quarante pour cent, et c’est ce que ton oncle m’a promis. »

« Mon oncle est un petit con, je ne te donnerais que vingt pour cent, c’est tout. »

La discussion était tendu, car l’homme voulait plus sur cette histoire de marchandise que Tom vendait et avait lui même récuperer. Les affaires ca le connaissait aussi et il ne lâcherait pas son bout de gras. Alors que Tom allait répliquer quand Fabio l’insultait ouvertement, la porte de la librairie s’ouvrit, le petit bruit de la clochette se faisant entendre. Tom se penchait un arrière pour voir qui arrivait, et s’était une jeune femme. Regardant Fabio de façon noir, Tom incitait à ce qu’il se taise et il se levait de la chaise en s’approchant.

« Bonjour, je peux vous aider ? »

Comme d'habitude, du monde s'affairait dans la librairie au centre commercial où je travaillais. Mon patron tentait alors de faire passer le plus de commande possible tandis que je recevais des livraisons de nouveaux ouvrages. Nous nous échangions les rôles tous les deux heures. Depuis huit heures le rythme était assez effréné. Mais heureusement vers onze heures du matin le calme avait refait place dans la librairie. Cela arrivait peu souvent lorsque nous avions autant de monde il fallait faire vite. Mon patron voulait engagé une seconde personne mais avec les petits revenus que nous avions tout les deux, le choix ne se présentait pas à nous.
Pendant la course général j'avais entendu deux femmes en train de parler d'une autre librairie qui a ouvert non loin d'ici, tenu par un homme seul.
J'étais intrigué et je voulais voir moi-même à quoi ressemblait cette librairie. Depuis mon arrivée je connaissais tous les établissements semblables au mien et cela me permettait de rediriger les clients si nous n'avions pas les livres demandés et que nous ne pouvions pas nous les procurer.

Après quelques instants, je demanda au patron si je pouvais lui laisser la boutique un peu avant l'heure du déjeuner pour aller voir cette fameuse librairie. Notre amitié au delà de la relation professionnelle. Mon patron fut un peu étonné mais lui, savait où était cette librairie. L'homme m'indiqua où se trouvait cet établissement et accepta que j'y aille durant l'heure du repas tant que je revenais pour l'après-midi. Je me dépêcha de prendre mon sac à bandoulière et ma veste puis je pris le bus en direction de la librairie dont parlaient les femmes ce matin.

Quelques instants passés dans les transports en commun, j'entra dans la librairie. L'intérieur était assez chaleureux. A peine avais-je fouler de quelques le seuil d'entrée qu'une voix s'éleva proche de moi. Sûrement celle du gérant de cet endroit. En lui répondant je lui dédie un grand sourire et regarde rayons remplis de livres.

"Bonjour... Je viens juste regarder un peu. J'ai entendu parler de votre librairie et je voulais voir de quoi les gens parlaient. Je suis une fan de lecture.

Je changea de repère où regarder et je continuais à marcher dans les rayons en observant chaque ivres présents dans cet endroit.