Dix huit heures, le commerce de Tom venait d’être fermé. D’abord les portes, puis les grilles avaient été descendu, sans oublié la pancarte « Close » de mise. Le quartier était certes dit de sûr, mais il y avait toujours des petits malins pour venir faire du forçage et voler des choses, sans parler de tous les ennemis qu’avait le brun, s’était donc sans conteste que même dans sa librairie il avait des caméras de surveillance d’installer… Parce que ce n’était pas une simple librairie, avec un espace détente. C’était bien plus que cela, un business important qui cachait argent, armes, drogues et autres. Tom n’avait pas voulu tout ca, mais il y était contraint, son oncle ayant la main sur une partie de la librairie, car l’argent ne tombe pas du ciel.
A l’arrière de la boutique, Tom faisait le compte de la caisse et avait déplacé un cadre pour accéder au coffre fort. Composant le code, il avait ouvert la porte et placer l’argent en toute sécurité, il devrait cependant aller ensuite à la banque en déposer. Refermant le coffre et remettant le cadre en place, le brun se dirigeait vers une porte qu’il ouvrit, mais au même moment il entendit un grand coup à deux reprises dans la porte de derrière. Fronçant les sourcils et allant chercher son arme disposé sur une étagère non loin, il défit la sécurité et allait ouvrir la porte en faisant attention. Il était prêt à tirer, sans aucune hésitation si s’était un gars ennemi… Mais heureusement pour lui ce n’était que… son oncle et un de ses sbires. Soupirant, Tom remit la sécurité de son flingue et le rangeait dans la poche de son pantalon, son oncle levait les yeux au ciel en parlant russe et entrait sans y être invité.
« Oui j’ai ton fric attends... »
Tom avait préparer le tout sur la petite table et il allait chercher les cinq paquets de billets qu’il donnait à son oncle. Ce dernier prit soins de bien vérifier le montant, comme si Tom irait le plumer, mais donnant les billets à son sbire qui lui avait une malette, son oncle se remit à parler.
Oncle « J’ai une mission pour toi… Antonio, qui est gardien de la prison du comté m’a appelé. Un gars a besoin d’un service. Il faut que tu contactes Liam Andrew, voici le dossier… Il a été libéré il y a peu et ne sait pas fait que des amis. Il n’y a pas de contrat sur sa tête, mais il aimerait le bousculer un peu, sachant qu’il connaît certaines choses qu’il ne devrait pas. Du coup, tu sais que tu as une livraison importante à faire vendredi… J’aimerais que tu le prennes avec toi. Qu’importe le truc, trouves un moyens et… secoue le, je te fais confiance la dessus. Dis lui que Stanislav lui passe le bonjour aussi, je pense qu’il saisira. Allez petit… je te dis à mardi jeudi pour le reste de l’argent. »
Son oncle finit par s’en aller et Tom était resté dans l’arrière boutique avec le dossier en main, sans réellement pouvoir dire quelque chose. Génial… Alors sans attendre, il retournait à l’avant du magasin, s’installant à la caisse, son ordinateur était toujours allumé, il se mit à regarder le dossier tout en cherchant à contacter ce gars. Sans attendre, il ouvrit un tiroir, prenant un portable jetable et ayant trouver le numéro il envoyait un sms en anonyme.
SMS : « Liam Andrew, rendez vous a l’angle de la 21 ème sur wall street à 20h15 sous le porche du café Gregorio Anzzani. Venez seul… Stanislav vous passe le bonjour. T. »