It's a beautiful day [PV]

Y'a des jours comme ça ou tout va bien.

Les partiels à la fac étaient terminés depuis un moment, période la plus emmerdante qui soit dans la vie d'un prof à l'université. Du coup ça, c'était une chose passée, et il avait de nouveau une vie bien à lui. Les cours étaient de nouveau agréables à donner, et ses recherches marchaient bien. Les potes ? Ça allait aussi. Son meilleur ami allait bien, le compagnon de celui-ci aussi et leur couple allait bien. Donc, il était content pour eux. Son pote qui allait être papa se portait bien ainsi que la future maman, ce qui réjouissait Alex pour eux. Il se demandait à quoi ressemblera leur petite fille lorsque celle-ci sera née. Elle sera sûrement très mignonne c'est sûr. Et qu'ils se rassurent, Alex ne lui apprendra pas de bêtises. Ou si peu …

A part ça les amours ça allait aussi. Enfin, fallait il encore qu'il y ait une femme dans sa vie. Dans son lit oui, mais après … C'est une autre histoire. Mais ça lui convenait, donc ça allait. Enfin depuis qu'il avait fait des galipettes avec la soeur d'un de ses potes, il n'était encore allé voir personne. Cela ne faisait pas bien longtemps donc ça allait. D'ailleurs c'est avec elle qu'on lui avait prêté une relation, avant que cela ne soit vrai. Plutôt marrant. Enfin il disait ça maintenant parce que plus personne ne parlait de ça.

Donc, tout allait bien pour lui ! Alors, après avoir fini sa journée de cours, dans l'après midi, il se dit qu'avec ce beau temps, il serait dommage de rentrer de suite. Du coup il décida d'aller se boire un café en ville. Alex quitta la fac après avoir répondu à quelques dernières questions posées par ses élèves, et se dirigea vers le centre ville. Qu'il faisait beau ! C'était un beau jour pour aller draguer tiens ! Ce soir, il sera de sortie, c'est décidé ! Tout seul ou avec un pote, à voir. Tant qu'il sortait, de tout de façon, il terminait très rarement la soirée seul.

En attendant, c'est au centre ville qu'il se dirigeait, en solitaire, pour boire un truc. Le Starbuck sera très bien. Il était seul de tout de façon, pas la peine d'aller dans un truc trop hype.

Il ouvrit ainsi la porte du Starbuck, afin d'aller se boire un café, ou quelque chose dans le genre. Il verra bien selon l'envie du moment ce qu'il prendra.

Math, physique, littérature et enfin pour finir histoire. Voilà l’après midi horrible que j’avais eu, la haine. On dit que la vie d’adolescent est simple, ben pas sûr. LA sonnerie retentit enfin, je choppais mon sac et sortit rapidement de la salle de cours. J’échangeais quelques mots avec Andrew, saluais Nae au passage, parlais avec quelques camarade, pour enfin me retrouver à l’air libre.

Je respirais cet air bien pollué de Manhattan. Je devais ressembler à l’un de ses libérer de prison, qui trouve l’air bien mieux dehors que dans l’enceinte  carcérale. Je marchais d’un pas sur vers l’appartement pour rentrer, mais il faisait super bon, pas envie d’aller m’enfermer dans une tour et encore oins de plancher sur mon exo de math. Mais seul que faire, je ne suis pas du genre à draguer les filles du bahut quoique… non et encore moins les garçons, pour ça je ressemble à personnes, ma mère aimait les garçons et mon père aussi, donc aller savoir.

Je passais devant le starbuck, un café pas mal du tout, à New York c’est connue. J’avais de l’argent de poche, suffisamment pour me prendre un truck, je pénétrais dans l’établissement, puis commanda un soda, vous savez ce soda noir prisée parles ados avec un jolie zéro dessinait sur le côté. Je payais ma boisson et m’apprêtas à sortir. Mon portable vibra, un SMS, tout en marchant droit devant, je lisais le texto que m’envoyais un pote.

Sur de ma direction, je lisais avec un sourire ce qu’il venait de m’écrire, quand tout à coup, quelqu’un me percutais, renversant sur lui mon soda du même coup, de surprise je lâchais le gobelet qui continuais de rouler sur le trottoir, me frottant la tête je dis :

« Aïe, eh vous ne pouvez pas faire attention non, voilà 5 dollars pour rien »

Je relevais la tête et vie un homme, ayant pris une partie de mon soda sur lui, je n’avais aucunement envie de lui sourire, j’attendais ses excuses.

Alors qu'il allait pouvoir commander un bon café, ou une boisson de ce genre, il arriva quelque chose qu'Alex ne vit pas venir. Sans crier gare, une personne le bouscula, lui rentrant en plein dedans, et aussitôt il sentit un truc liquide sur lui. Oui, sans les sous titres, ça sonne un peu tendancieux. Traduction : un jeune homme l'a bousculé, les yeux rivés sur son portable et renversé ce qui semblait être du soda sur lui. Ce qui le coupa dans sa quête d'un café, constatant les dégâts.

Ah … merde …

Dit-il en constatant qu'il avait du soda en plein sur lui. Erk. Ce truc ça colle, c'est dégueulasse, vraiment bon qu'au goût ! A la limite, des excuses et on en parlait plus. Et bien non ! Ce qui le surpris le plus, c'était que la personne qui avait renversé du soda en le percutant ne s'excusa même pas. Non, semblait-il que c'était de sa faute maintenant. Elle était bien bonne celle-la !

Quoi ? Et en plus c'est ma faute ? Sérieux?

Alex ouvrit de grands yeux étonnés face au gamin devant lui. En voilà un qui ne manquait pas de culot ! D'un ton calme, bien que largement surpris par un tel comportement, il fit au jeune homme :

C'est peut être moi qui regarde pas ou je vais, les yeux rivés sur mon portable ?

Le syndrôme du c'est pas moi c'est les autres hein ? Il regarda alors un peu mieux la personne face à lui. Il devait être au lycée ce type non ? Pas bien grand et pas très sympa non plus. Et avec un accent bizarre. Enfin, qu'importe.

Les jeunes de nos jours …

Soupira t-il en regardant de nouveau ses vêtements. Le pantalon ça allait. Son haut aussi, il n'avait pas trop subi de dégâts, rien de dramatique. Le pire, c'était sûrement sa veste. Complètement trempée ! Il allait devoir la laver dès ce soir sinon elle était foutue. Et aucune envie d'aller draguer avec une énorme tâche de soda sur lui !

Bon c’est vrai ce type avait raison, mais quand même à cause de lui j’ai plus de soda. Ca veste en avait pris plein. En voyant dans l’état dans lequel le pauvre se trouvait, je ne pus réprimer un sourire. Mais que voulait il des excuses, alors là il rêve :

« Oui je marchais avec mes yeux sur le tel, mais vous, vous ne voyez pas devant vous, j’allais sortir c’est clair pourtant, vous devez un soda »

C’était mon genre, mais j’avais eu une journée horrible, je n’allais pas me faire enquiquiner par un New Yorkais, snob et prétentieux. Il ne bouge pas en plus, il est sérieux là :

« Bon écoutez on va faire simple vous me payez un nouveau soda, je vous en veux pas et basta, on dit les jeune mais las adultes.. »
Je l’invitais à entrer dans le café, il à intérêt à ne pas jouer les radin, je suis capable de lui pourrir le reste de ses fringues et à se petit jeu je peux me montrer incroyablement bon. Puis un sursaut de générosité fit irruption chez moi :

« C’est bon, vous voulez quoi que je lave vos fringues, je n’ai pas le droit de ramener des inconnus à la maison et je préfère les filles, ou vous paye le pressing ? Je suis fauchais »

Ce gars était bien le genre de type, à ne pas savoir laver ses fringues, le bourgeois dans toute sa splendeur, avec du personnel à son service. Je n’avais aucune envie de le laisser s’en tirer a si bon compte :

« Bon ce soda vous allez me le payer, sinon, laissez moi passer, j’ai d’autres chose à faire que de papoter avec un inconnus, surement mal intentionné. Ouais c’est ça, vous chercher des jeune pour les kidnapper »

Oui j’y aller fort ben je m’en moquer à lui de me démontrer le contraire.

Bien, le jeune homme avait au moins réalisé qu'il était fautif dans l'histoire avec son portable. Un bon point. Puis il émit l'idée de lui repayer un soda. Hum … S'il avait genre dix ans de plus, ou bien qu'il était une jolie femme, Alex l'aurait sûrement proposé de lui même. Fallait voir, il se tâtait. Il eu un sourire lorsque le jeune homme lui demanda s'il voulait qu'il se charge du pressing et autre de sa veste. Enfin, il déconnait il le savait, et apparement il était fauché, en plus. Le pressing ne sera peut être pas nécessaire. Un bon tour en machine à laver et le vêtement sera sauvé. Avec les bons produits dessus, Alex saura le récupérer.

Je devrais pouvoir me débrouiller pour lui redonner une apparence correcte. Je ne pourrais jamais séduire la moindre femme avec une veste qui ressemble à celle d'un clochard.

Enfin, sait on jamais. Il y en avait qui avaient de drôles de délires, mais il n'avait encore jamais croisé quelqu'un qui avait une fixation sur les clodos. Alex ne se retint pas de rire franchement lorsque le jeune homme émis l'hypothèse qu'il était un type mal intentionné qui capturait les gens. Mais ou les jeunes allaient chercher toute cette imagination hein ? Trop de télévision sûrement. Ou du vécu ? Peut importe, parce qu'il avait réussi à le faire marrer franchement.

Elle est bien bonne celle-la !

Fit-il en se marrant. Il avait donc l'air d'un type comme ça ? Et bien il en apprenait de belles chaque jour ! Voyant l'air qu'affichait le jeune homme, Alex lui adressa une tape amicale sur l'épaule. Qu'il ne prenne pas peur, il était tout à fait normal !

Oh aller rigole un coup, tu m'a l'air coincé comme pas possible. Prends-toi un soda je te l'offre. Si ça peut te rassurer, je n'ai rien de mal intentionné.

Dit-il en retirant sa veste. Sentir le soda, non merci. Et puis il ne voulait pas que son portefeuille soit complètement trempé. S'il voulait payer la boisson du jeune homme et se boire ce maudit café, il valait mieux que tout soit nickel.

Draguer une fille, les Newyorkais ne font que ça ou quoi draguer des personnes. Je fronçais les sourcils et puis en arquais un. Pas une veste de clodo, si il voyait ses fringues :

« Mec même ta veste sans tache fait clodo sans parler du reste de ta tenue, niveau look va falloir tout revoir »

Il était hors de question de me montrer sympa a cause de lui j’avais perdu mes cinq dernier et précieux dollars. Ce type avait vraiment l’air de bonne humeurs et pas du tout irrité par mes réflexion, le pire c’est qu’il rigolait à mes remarques, pas susceptible, bien m’a veine. Je n’arriverais pas à me débarrasser de lui. Ma remarque sur ses intentions lui plus.

Non mais ce mec est franchement différend des autres. Il me fit une tape amicale sur l’épaule, mais je l’évitais de justesse :

« Tu me touche pas c’est clair, je te connais pas tes mains loin de moi »

Il m’insultait maintenant en disant que j’étais coincé, non, mais pour qui il se prend. Si on n’a pas le même sens de l’humour j’y peux rien moi. Coincée je t’en donnerais moi du coinçais. Bon un bon point pour lui, il allait me payer un soda, évidemment je repris le même :

« Merci et bye »

Je tournais les talons et me dirigeais vers l’entrée, quand il apparut devant moi entre moi et la porte me barrant l’accès. :

« Quoi encore ? Des excuses, même pas en rêve, j’ai eu une horrible journée alors, je voudrai rentrer »

Je lui fis un jolie sourire, mais il ne bouger pas, mais il veut quoi ce type. Lasser d’attendre je m’assis au comptoir.

Bah quoi elle était bien sa tenue ! Un jean foncé, une chemise foncée elle aussi, un truc sobre et classe à la fois. Il n'allait pas donner des cours en haillons non plus. Enfin bref, le jeune homme était vraiment sur les nerfs. Peut être avait-il ses règles. Mais il lui faisait penser à quelqu'un qu'il appréciait beaucoup, et puis, c'est pas Alex qui allait s'emporter contre un gamin. Un rien peut les vexer à cet âge la. C'est aussi dans ces cas-la qu'il se disait que c'était cool de pas avoir d'enfants.

Et bah mon p'tit gars, si t'es tous les jours comme ça, je plains tes parents.

Dit-il, d'un ton calme, pas fâché pour un sou. Enfin, il lui paya comme promis son soda pendant qu'il se prenait enfin un café. En revanche, il n'avait toujours pas eu d'excuses. Certes il avait au moins dit merci pour la boisson, pas ne s'était pas excusé d'avoir renversé la précédente sur sa veste. Raison pour laquelle il ne laissa pas le jeune homme s'en tirer comme ça.

La politesse ça va dans les deux sens. Je te repaye un soda puisqu'à cause de moi tu n'en n'a plus, je suis en droit d'attendre un simple désolé non ?

Ça mangeait pas de pain ! Tout en gardant une distance respectable du jeune homme, il alla prendre place au comptoir également. Puis il lui demanda :

Elle était si pourrie que ça, ta journée ?

Raconte tout à tonton Alex ! Les soucis des petits étudiants New Yorkais, il y avait droit régulièrement, alors pour une fois que ce n'était pas un étudiant de sa fac, ça changeait ! Et puis il ne voulait pas croire qu'un tout jeune homme comme ça puisse tirer la gueule sans raison valable ! C'était trop triste ! A cet âge la ça a normalement pas trop de soucis, ça a des potes et ça profite de la vie en toute insouciance ! Normalement. Après, on ne connait pas la vie des gens.

Mais il se prenait pour qui ce type. Me faire la moral, il croit quoi. Il c’est faire que des reproches ou quoi. Il parlait de mes parents du genre, si je suis comme ça tout les jours il les plaint. Je le foudroyai du regard. Pas le temps de répondre, voilà qu’il me fait la leçon sur la politesse, il à une tête de prof, mais heureusement il n’est pas dans mon lycée, je l’aurais pas supporté.

Il parlait trop, il me saoulé grave. Puis il me demandait si ma journée avait put être si horrible que je le prétendais, il me prend pour une menteur génial :

« Écoute je ne sais pas ce que vous essaye de faire, mais ça marche pas. On se connait pas tout les deux. Ma famille vous la connaisse pas, vous ne me connaissez pas, de quel droit vous osez plaindre mes parents. Pour la leçon de moral j’ai un père pour ça, donc garde les pour vous »

Il m’avait énervé là. Je suis comme je suis. ; Je les pas obliger à me parler, c’est lui qui ne continue pas moi, puis il continuer à me regarder :

« Quoi encore ? Merci pour le soda, pour les excuses, vous n’en aurez pas faites gaffe ou vous mettez les pieds. Pour infos, je ne vais pas vous raconter ma vie, sous prétexte que ses cogné l’un à l’autre. Les ados c’est compliqué vous ne saviez pas. De toutes façon vous êtes trop vieux pour comprendre les ados, vous avez quoi Trente ou quarante ans. »

J’avais besoins de parler, mais pas à mon père, à lui un inconnue. Je soupirai avant de reprendre :

« Le journée n’est pas dire que d’hab. C’est juste ma vie qui horrible, ah je me présente comme j’ai l’impression que vous n’allez pas me lâcher : Alexander Harper ou Wilder, je sais plus, mais appelez moi Alex, vous c’est comment ? »

Trop vieux pour comprendre les ados ? Excuuuuse la représentation physique de tout ado sur le monde sur lequel tous les problèmes tombent ! Enfin bon. C'est peut être pour ça qu'Alex était ravi d'enseigner à la fac et non pas dans un lycée, ou pire, un collège ! Et puis, il n'était pas si vieux que ça.

32 ans pour être exact ! Et ne t'en fais pas j'ai pas oublié l'époque ou j'étais ado. Ah c'était la belle vie !

Oh bien que dans sa tête il n'a pas vraiment l'impression d'avoir vieillit. La vieillesse de tout de façon, c'est dans la tête, pas un nombre. Il y en a à vingt ans qui sont déjà vieux et d'autre à cinquante qui sont tout jeunes. A bien y réfléchir, il était toujours aussi con qu'il y a quinze ans. N'avait mûri que son apparence physique en fait. Mais allez dire ça a un type qui est encore ado, il va bien se marrer !
Enfin le jeune homme se présenta. Alex hein ? Ce n'était pas la première fois qu'il croisait un jumeau de prénom, mais à chaque fois ça l'amusait. Oui il en faut peu. Alors à son tour il se présenta :

Alexandre Hyde, appelle-moi Alex.

Au moins pas de soucis pour retenir le prénom de l'autre, même si il est fort peu probable qu'ils soient ammenés à se rencontrer de nouveau. Il n'allait peut être pas dire de suite au jeune homme qu'il était prof. A cet âge la on emmerde l'école et ses profs, alors parler avec l'un d'entre eux en dehors des cours … pfiouh !
Bref le jeune homme semblait avoir des soucis existentiels avec son nom de famille.

Harper ou Wilde ? Soucis familiaux j'imagine ?

C'est ce qui causait tant de tourments à l'adolescent ? Problèmes d'identité ? Ouais enfin selon le jeune homme c'était sa vie entière qui était pourrie. Non mais comment à son âge on pouvait dire des trucs comme ça ? Il avait été vendu sur le marché de l'esclavagisme sexuel ou un truc comme ça ? Non ? Bah alors de quoi se plaignait-il donc ?

Oh, s'il avait voulu faire sa drama queen, Alex aurait bien eu l'occasion de le faire ! Des parents morts quand il était trop petit pour s'en souvenir, une nouvelle famille qui n'en n'a rien à foutre de vous, ou qui aime bien vous pointer du doigt quand vous faites le premier faux pas … De tout de façon tout le monde avait vécu des choses difficiles. Alors plutôt que de pleurer il s'était tout naturellement concentré sur les choses heureuses de sa vie. Broyer du noir éternellement n'aide pas à avancer dans la vie, c'est une certitude.

Pour en revenir aux petits problèmes d'Alexander, cela semblait … compliqué et simple à la fois ? Alex écouta alors la petite explication du jeune homme quand à son soucis de nom de famille. Donc, s'il comprenait bien, c'était une histoire avec ses parents hein ? Un truc comme ça ?

Ça n'a l'air pas très cool comme histoire dis-moi.

A entendre oui, mais à vivre, il imaginait que cela devait être assez difficile. Surtout pour un jeune homme. A cet âge la, une crise identitaire n'est pas pour arranger ses affaires ! Puis le jeune homme lui dit qu'il devait s'en aller. Soit ! Qui était-il après tout pour lui bouffer de son temps ? Un simple inconnu bousculé dans un café, rien de plus !

Je ne peux pas te retenir !

Fit-il en désignant la porte de sortie.

Oh et ne t'en fais pas pour tes soucis. Cela finira bien par se régler.

Ces histoires de nom de famille et tout ce qui va avec quoi. Peut être pas demain de suite, mais cela finira par aller mieux. Quand, il ne pouvait pas dire. Mais Alexander finira par grandir et saura mieux comment gérer ces problèmes. S'il sent qu'il préfère le nom de famille avec lequel il a toujours vécu, pas de raison de changer non ? Il est le seul à décider. Il n'était pas un petit enfant qu'on trimbale entre les soucis des parents qui se bataillent pour un nom de famille. Enfin, à chacun ses emmerdes non ?