Un employé pour un travail. Feat. Chris

Un employé pour un travail

Chris Ramsey

Je vérifiais une dernière fois l'adresse sur le bout de papier que j'avais en main avant de m'avancer vers l'entré du garage. Ramsey garage. J'étais juste. Cella faisais une semaine que j'étais sorti de prison, il fallait que je retourne à la vie civilisée... Et pour ça il fallait que je travail. Je ne cherchais pas de travail pour l'argent. Mais plus pour avoir un but. Me lever le matin, avoir quelque chose à faire et me coucher le soir après avoir accomplis cette chose. Et puis bon il fallait bien se socialiser. Faire des rencontres. Hourra! J'en transpirais de joie! Enfin au moins dans un garage il n'y à pas trop de contact avec les clients. Vous réparer leur voiture, le patron encaisse et vous passer a la voiture suivante.

Depuis je j'étais sortit je voulais juste resté sur mon canapé lit et ne plus sortir. Apprendre que mon frère jumeaux, présumé mort, s'était enfuit avec ma copine de l'époque et qu'ils avaient décidé de me faire porter le chapeau tous les deux.... Ça fichait le cafard! Je n'avais d'ailleurs toujours pas recontacté mes parents et ne comptais pas le faire... Ça avait fait mal de voir leurs regards lourd de reproches. Pas une visite pas un appel... Rien! Ils étaient venu le jour de ma libération... J'étais passé devant eux sans un regard dans leur direction. Je leurs en voulait. Je m'étais alors focalisé sur le fait de me trouver un appartement à New York. De construire ma vie autre part. J'étais devenu assez renfermé. Je n'avais même pas encore rencontré mes voisins. Et ça faisait une semaine que j'avais emménagé. Enfin. Je foutais la paix aux gens et les gens me fichaient la paix.

Je secouais la tête avant de traverser la rue, mains dans les poches de mon blouson en cuir avant de pousser la porte du garage. J'entendais directement au loin les bruits de voitures qu'on bricolais et l'odeur d’essence et de métal vint me chatouiller les narines. Je ne vis personne et m'avançais près du comptoir.

"Il y à quelqu'un?"

J'attendais un instant les mains en poches regardant autour de moi. Une petite boutique précédais le garage en lui même. Entre les produit de voitures et les housses pour sièges, Liam découvrit tout uen gamme pour entretenir les motos. Intéressé je m'en approchais, attendant que le propriétaire arriverait. On m'avait certifier que si le garage était ouvert le propriétaire serait présent à coup sur. J'avais laissé mon cv ainsi que certains papiers prouvant mon séjour en prison et mon innocence déclarée par le juge sur le comptoir. Je ne comptais pas cacher ce genre d'informations à un éventuel futur patron. De plus il devait remplir certains papier comme quoi ma réhabilitation sociale se passait bien. J'en avait mare des paperasse. Je voulais juste qu'on me fiche la paix.

Un employé pour un travail

Chris Ramsey

Je me retournais vivement lorsque j'entendis un homme me parler. Il devait avoir ma taille, les cheveux blond. Il était en tenue de mécanicien et s'essuyait les mains. Il avait l'air gentil, accueillant en quelques sorte malgré ses allure de mécanicien. Enfin ses allures de mécanicien. Les chemises classique, un nom gravé sur la poche avant: "Chris". Il avait un regard sincère et ses questions n'étaient pas posées de matinières indiscrètes, mais par reflex je répondis brièvement. La prison m'avait appris le silence.

"J'en possède une. Je viens pour poster un CV."

Je me rapprochais du comptoir et présentais les feuilles à mon patron. Le dossier comportant mon CV, comportant un diplôme officiel d'une formation de mécanicien suivit en prisons, une copie de mon inculpation, une autre de ma libération et une dernière du juge qui demandais une remise en forme en quelque sorte. Ce papier indiquait que j'avais été jugés à tord et devais retrouver ma place dans la société. J'avais souris ironiquement ne lisant le papier. En gros le système judiciaire a foire, veillez l'excuser en évitant de me coller une étiquette dessus. Je regardais l'homme devant moi dans les yeux sans honte de mon passé. pourquoi est ce que je devrais me sentir mal. Je n'avais rien fait de mal! Je me rendis alors compte que je ne savais pas à qui je m'adressais.

"Vous êtes le patron?"

Deux phrases. En prison on m'aurais déjà proposé des coups ou des menaces pour avoir posé la question. Mais je n'étais plus en prisons. Il fallait que je me souvienne qu'en société tout le monde était civilisé, ou presque, et qu'on ne rouait pas de coup les gens s'ils posent des questions ou s'il adresse la parole à un vendeur... Enfin presque jamais! Je remarquais alors que c'était le premier vendeur, autre qu'un vendeur de drogue, avec qui j'avais à faire; Un sourire ironique pris place sur mes lèvres. Une première expérience dans le monde civilisé. Depuis ma libération j'étais resté chez moi. Mon avocate s'était chargée de faire les courses pour moi. Je n'avais donc pas pus sortir. je redevins sérieu en quelque sorte lorsque je me relocalisais sur l'homme face à moi.

"Je sais bien qu'il n'y à aucune affiche dehors qui indique que vous chercher des employés, mais bon je tente le coup un peu partout. "